L’IA en tant que telle ne doit pas être brevetée

L’IA doit rester une science et non une technique à breveter – Analyse de l’affaire DABUS L’IA doit rester une science et non une technique à breveter Article de Me Philippe Schmitt Publié dans la revue Propriété Industrielle de décembre 2020 La numérotation de la publication n’est pas ici conservée, des soulignements sont ajoutés, l’article

La première IA réglementée pour la conduite autonome mais sans parler d’IA !

Décret du 29 juin 2021 : Responsabilité Pénale et Véhicules Autonomes | Intelligence Artificielle Décret du 29 juin 2021 Responsabilité Pénale et Véhicules à Délégation de Conduite Analyse juridique complète du régime de responsabilité pénale applicable aux véhicules autonomes et leur interaction avec l’intelligence artificielle Introduction Le décret du 29 juin 2021 est venu préciser

La proposition de règlement établissant des règles harmonisées concernant l’Intelligence Artificielle  

Règlement Européen sur l’Intelligence Artificielle (IA Act) – Proposition 2021/0106 Règlement Européen sur l’Intelligence Artificielle Proposition 2021/0106 du 21 avril 2021 « L’IA est un outil qui devrait se mettre au service des personnes et constituer une force positive pour la société » Vision et Ambition du Règlement La proposition par la Commission du règlement établissant des

Brevet DABUS et Intelligence artificielle : le 25 novembre 2019 n’est pas le jour de la singularité créative.

20 décembre 2019 : l’examinateur de l’OEB rejette la demande de brevet c’est là Le rejet de la demande de brevet sur ce récipient alimentaire , appelé brevet DABUS, est motivé par le défaut d’indication de l’inventeur, condition posée à l’article 81 de la Convention. Article publié le 26 novembre 2019 sur le site du

L’IA : de l’habileté augmentée en licence

L’avocat est au coeur de l’intelligence artificielle, Tous demandent l’application de lois. Cette habileté augmentée donnée en licence constitue un véhicule de droits sur lesquels l’avocat intervient. Les biais nombreux des données et des algorithmes sont à corriger par l’avocat.